Burkina Faso
Agé de 41 ans, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA est un officier supérieur d’infanterie des Forces armées burkinabè. Diplômé de l’école militaire de Paris, il est également titulaire d’un master 2 en sciences criminelles du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) de Paris et d’une certification d’expert de la Défense en management, commandement et stratégie.
Ancien élément de l’ex- Régiment de sécurité présidentielle (RSP), considérée comme la garde prétorienne de Blaise Compaoré jusqu’à sa dissolution en 2015, Paul Henri S. Damiba sera affecté dans d’autres unités après les mutineries de 2011. Affecté à Dori comme commandant du 11e Régiment d’Infanterie Commando (RIC), il commandera par la suite, en 2017, le 12e RIC à Ouahigouya.
Il avait aussi été cité dans le procès du putsch du CND de 2015 où il avait été question d’une conversation tenue entre lui et le général Djibrill Bassolé qui aurait voulu le dissuader de descendre sur Ouagadougou avec ses hommes pour contrer le coup d’Etat, tout comme d’autres unités militaires.
Après plusieurs stages à l’extérieur, Paul Henri Damiba est nommé, à son retour au pays comme chef de corps du 30ème Régiment de commandement d’appui et de soutien (RCAS) basé au camp Gal Baba Sy. Après le drame d’Inata, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA a été nommé commandant de la 3e Région militaire, qui couvre Ouagadougou, Koudougou, Fada N’Gourma et Manga.
Paul-Henri DAMIBA est auteur du livre “Armées ouest-africaines et terrorisme, réponses incertaines ?” ; un essai de 160 pages publié en juin 2021 aux Editions Les 3 colonnes à Paris.
Agé de 41 ans, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA est un officier supérieur d’infanterie des Forces armées burkinabè. Diplômé de l’école militaire de Paris, il est également titulaire d’un master 2 en sciences criminelles du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) de Paris et d’une certification d’expert de la Défense en management, commandement et stratégie.
Ancien élément de l’ex- Régiment de sécurité présidentielle (RSP), considérée comme la garde prétorienne de Blaise Compaoré jusqu’à sa dissolution en 2015, Paul Henri S. Damiba sera affecté dans d’autres unités après les mutineries de 2011. Affecté à Dori comme commandant du 11e Régiment d’Infanterie Commando (RIC), il commandera par la suite, en 2017, le 12e RIC à Ouahigouya.
Il avait aussi été cité dans le procès du putsch du CND de 2015 où il avait été question d’une conversation tenue entre lui et le général Djibrill Bassolé qui aurait voulu le dissuader de descendre sur Ouagadougou avec ses hommes pour contrer le coup d’Etat, tout comme d’autres unités militaires.
Après plusieurs stages à l’extérieur, Paul Henri Damiba est nommé, à son retour au pays comme chef de corps du 30ème Régiment de commandement d’appui et de soutien (RCAS) basé au camp Gal Baba Sy. Après le drame d’Inata, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA a été nommé commandant de la 3e Région militaire, qui couvre Ouagadougou, Koudougou, Fada N’Gourma et Manga.
Paul-Henri DAMIBA est auteur du livre “Armées ouest-africaines et terrorisme, réponses incertaines ?” ; un essai de 160 pages publié en juin 2021 aux Editions Les 3 colonnes à Paris.
Le nouvel homme fort est de la promotion 92 du Prytanée militaire du Kadiogo (PMK), et de la 7e promotion de l’Académie militaire George Namoano (AMGN) de Pô.
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