Transfert

A la recherche d’un entraîneur pour succéder à Christophe Galtier, Lille a placé ses pions sur Claudio Ranieri, libre après son récent départ de la Sampdoria de Gênes. Une cible très intéressante à tous les niveaux.

Claudio Ranieri pourrait s’offrir un come-back en Ligue 1

Pour pallier le départ de Christophe Galtier, qui a choisi de quitter le LOSC auréolé d’un titre de champion de France, Lille va devoir rapidement miser sur un nouvel entraîneur et choisir le profil parfait.

Avec les noms de Laurent Blanc, Patrick Vieira ou encore Fatih Terim, les pistes sont nombreuses et assez séduisantes. Et le casting grandit ce lundi avec une nouvelle cible de renom : Claudio Ranieri.

Lille pense à Ranieri

D’après les informations du site Foot Mercato, le «Mister» intéresse effectivement les Dogues. Grâce au calme olympien qui fait sa réputation, ainsi que sa connaissance du championnat français, suite à ses passages à l’AS Monaco (2012-2014) puis à Nantes (2017-2018), mais aussi de la Ligue des Champions, l’Italien présente un séduisant profil et remplit, sur le papier, toutes les cases pour diriger le LOSC.

De par sa rigueur et son empathie envers ses joueurs, Ranieri s’inscrirait parfaitement dans le projet lillois, en montrant de la proximité avec son groupe et une capacité certaine à faire progresser de jeunes éléments. Vous l’aurez compris, l’expérience de Ranieri pourrait servir aux Dogues, qui joueront la saison prochaine la C1 mais surtout la Ligue 1, avec la pression d’un champion en titre.

Une expérience honorable avec la Samp’

De plus, sur un plan contractuel, le technicien italien présente aussi l’avantage d’être libre. En effet, celui qui a remporté la Premier League avec Leicester City en 2016 vient de quitter, au terme de son contrat, la Sampdoria de Gênes, après avoir bouclé la saison à la 9e place de la Serie A. Âgé de 69 ans, Ranieri conserve de beaux restes et a toujours de l’énergie à donner. Pour l’heure, rien n’indique que la direction lilloise optera pour son profil aux dépens d’autres candidats, mais le Transalpin aurait tout d’une belle pioche.