1er gouvernement du second mandat de Macky
Si en jetant son choix sur certaines personnes, le président Sall, visait l’efficience, il l’a eu avec certains ministres qui ont fait leur preuve au moment au d’autres traînent les pieds ou sont sur le chemin.
Le premier gouvernementdu second mandat de Macky Sall compte de bons ministres et des moins bons. Parmi les premiers nommés, on peut citer le ministre de l’économie et du plan, Amadou Hott.
Jusqu’à sa nomination au poste de Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération du Sénégal en avril 2019, M. Amadou HOTT était Vice-Président du Complexe Electricité, Energie, Croissance Verte et Changement Climatique de la Banque Africaine de Développement (BAD) depuis novembre 2016. Ses performances au département qui lui est confié sont la preuve que ses vingt années d’expérience dans des domaines tels que les financements structurés, les levées de fonds sur les marchés de capitaux, la création et la gestion de fonds souverain, la banque d’investissement, les investissements dans les infrastructures et le développement de solutions énergétiques intégrées ne sont pas usurpées. Matar Ba aussi…
A la tête de la grande instance du sport sénégalais depuis 2014, Matar Ba qui a été confirmé au poste de ministre des sports aprés la réélection de Macky Sall est un produit du mouvement associatif qui a fait ses preuves. Homme de consensus au département des sports, le maire de Fatick est bien parti pour titiller le record de Feu François Bob. En effet, le dernier ministre des Sports de Senghor et le premier du Président Diouf détient le record de longévité avec une durée de 7 ans.
Abdou Karim Sall fait ses preuve
Contesté par ses détracteurs à son arrivée au département de l’environnement en provenance de l’Artp où il a fait un travail bien apprécié par le président qui l’a promu ministre, Abdou Karim Sall a commencé par ses dresser contre le fléau des sachets en plastique. Il a développé un important programme de protection des forêts, la création de parcs forestiers, la lutte contre les inondations etc. Il a su également exécuter la politique de l’Etat de réduction du taux de sous-emploi des jeunes, surtout en milieu rural à travers la place en place du Programme d’Appui à la Création d’opportunités d’Emplois qui a permis d’acquérir, au profil des jeunes et des femmes, des Kiosques mobiles solaires, des Tricycles isothermes, entre autres équipements pour le développement de filières comme le recyclage du plastique et de l’autonomisation énergétique par la promotion de l’énergie solaire. Madame Aminata Assome DIATTA est une Juriste d’Affaires, Gestionnaire de la Politique Economique.
Depuis qu’elle est arrivée à la tête du département du commerce, les spéculateurs sur les prix des denrées et autres matières de consommationcourante sont surveillés comme du lait sur le feu. Sa dernière décision en date contre les spéculateurs concerne le ciment dont la tonne qui coûtait 62000 frs a été relevée à 70.000 frs vois plus à l’intérieur du pays. Mme Diatta n’a pas tardé à monter au créneau pour mettre en garde contre cette spéculation.
Commissaire aux Enquêtes Economiques de profession,madame Assome Aminata DIATTA qui a aussi fait ses preuves au niveau de plusieurs services de commerce des régions en tant a reçu une lettre de félicitations de Monsieur Alioune SARR, Ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation et des PME pour le travail accompli à la direction du Commerce extérieur ; ainsi qu’ une lettre de félicitations du Directeur du commerce intérieur pour les résultats obtenus dans la mise en œuvre de la politique commerciale de l’Etat dans la Région de Thiès. Un autre ministre qui est bon est Mamadou TALLA
Ministre de l’Éducation nationale. Au-delà de son emprunt sur le le très controversé secteur de l’éducation qu’il dirige, Il se référer à son discours prononcé lors de la 40ème session de la Conférence générale de l’UNESCO
2 pour se rendre compte de ses ambitions pour l’école.
« Notre monde est actuellement confronté à des défis majeurs : réchauffement climatique, montée de l’extrémisme violent,destruction de notre patrimoine commun, pour ne citer que ceux-là.
Dans un tel contexte fait d’incertitudes, le Sénégal, qui fonde sa politique internationale sur le dialogue constant, entend contribuer au renforcement du multilatéralisme. À cette fin, mon pays reste profondément convaincu que le mandat fort louable de l’Unesco pour la construction de la paix doit nous conduire à une introspection sur la finalité de son action.
En effet, pour l’atteinte des Objectifs de Développement durable,notamment l’ODD4, nous devons faire montre de plus de pragmatisme afin de respecter nos engagements.
3 Pour une paix sociale durable, il faut assurer à tous un accès équitable à une éducation de qualité, par une promotion des langues nationales, de l’alphabétisation, des alternatives au système scolaire classique (comme les daara modernes au Sénégal), et de l’apprentissage tout au long de la vie. Une attention particulière doit être accordée à la question du genre, aux personnes vivant avec un handicap et aux jeunes déscolarisés ».
Déclarait-il lors de cette conférence ?
Un ministre qui n’a pas encore duré à son poste mais qui est entrain d’imprimer sa marque est Abdoulaye Sow. L’ancien directeur du Coud qui avait réussi à pacifier l’espace social de l’Ucad est entrain des faire des pas pour l’exécution du programme des 100000 logements. Sophie Gladima qui trône à la tête du ministère du pétrole, les Samba Ndiobéné Ka, Abdoulaye Daouda Diallo, Sidi Kaaba, Moise Sarr, Malick Sall, Mansour Faye, Samba Sy travaillent à l’exécution des directives du président Macky Sa
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