Présidentielle du 25 février 2024 : Amadou Ba face à un contexte difficile

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La cherté de la vie, les remous dans plusieurs secteurs ainsi que les dissidences dans son camp, sont de redoutables adversaires qui vont jouer contre Amadou Ba à la presidentielle de 2024. Choisi pour briguer les suffrages pour le compte de la mouvance présidentielle, Amadou Ba va compétir dans un contexte qui ne lui est pas du tout favorables.

Cherté de la vie, remous et dissidences jouent contre Amadou Ba

A la présidentielle du 25 février, la cherté de la vie sera le plus redoutable adversaire du premier ministre Amadou Ba. C’est en effet un secret de polichinelle que le pouvoir d’achat des ménages s’est particulièrement détérioré au Sénégal ces dernières années. A cause de l’inflation sauvage des prix des denrées, les Sénégalais sont confrontées à ces difficultés qui font qu’ils n’oublieront pas de sitôt cette année 2023. Si le régime du président, Macky Sall a fait des réalisations sur le plan des infrastructures, la nourriture, la santé, le loyer et les factures d’électricité et d’eau continuent de perturber le sommeil des gorgorlous.

Le discours du premier ministre-candidat convaincra t’il?

A la cherté de la vie comme adversaire du premier ministre Amadou Ba a la prochaine présidentielle s’ajoutent les difficultés des populations pour se soigner. Il ya aussi le loyer dont la cherté continue de résister aux mesures prises par le gouvernement. En fait, c’est connu que la diminution du prix du loyer décidée par l’autorité n’est pas respectée par les bailleurs qui continuent de dicter leur loi aux locataires. Les factures trop élevées d’électricité et d’eau vont également jouer contre le candidat de Benno.

Amadou Ba fait face à trop de problèmes sans solutions

Ce dernier qui fait déjà face à des dissidences dans son camp s’expose à des votes sanction qui pourraient le désavantager lors des dépouillement des voix. Il ya pas que ça comme élément du contexte défavorable au candidat de la mouvance présidentielle. Les remous dans les secteurs de la justice, de l’éducation , de la santé ne plaident pas en faveur d’Amadou Ba.