Transfert : Henry prêt à dire oui aux États-Unis ?

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Thierry Henry n’a pas refusé l’équipe de France féminine pour rien. Selon les informations d’ESPN, l’ancien entraîneur de l’Impact Montréal serait «intéressé» par le poste de sélectionneur des États-Unis, vacant depuis le départ mouvementé de Gregg Berhalter en fin d’année dernière.

N°2 avec la Belgique et bientôt N°1 avec les États-Unis ?

«Ce ne sera pas lui, je crois qu’il est en train d’embrayer sur d’autres projets» : Jean-Michel Aulas a confirmé la réponse négative de Thierry Henry pour reprendre l’équipe de France féminine suite au départ de Corinne Diacre, et il a sans doute glissé un indice sur l’avenir du consultant de Prime Video.

Car après avoir vu la Belgique lui préférer Domenico Tedesco pour prendre la succession de Roberto Martinez, le deuxième meilleur buteur de l’histoire des Bleus a plus que jamais envie de reprendre du service.

Son appel du pied en février

Reste à savoir où. Ses expériences mitigées à Monaco (2018-2019) et Montréal (2020) lui ont sans doute fait passer l’envie de rebondir dans un club. À priori, Henry cible plutôt une sélection. Comme celle des États-Unis, à qui il a récemment ouvert la porte ? Bien évidemment. Ce jeudi, le média américain ESPN confirme que l’ancien attaquant d’Arsenal se montre «intéressé» par le poste, vacant depuis le départ mouvementé de Gregg Berhalter en fin d’année dernière .

Interrogé sur un éventuel intérêt pour la sélection étasunienne au mois de février, Henry avait d’ailleurs effectué un appel du pied en bonne et due forme sur le plateau de la chaîne américaine CBS, pour qui il est consultant. «Les États-Unis cherchent un nouveau sélectionneur, est-ce que je mettrais mon nom dans le chapeau ? D’abord et avant tout, c’est un sujet délicat à aborder ici. Mais être N°2, ce n’est plus quelque chose que j’aimerais faire», avait-il d’abord expliqué.

2026 en ligne de mire

«Concernant le sportif, est-ce que je connais les joueurs ? Oui, je connais les joueurs. Est-ce que je connais la Ligue ? Oui, je connais la Ligue», avait-il poursuivi, en donnant malgré lui le sourire aux autres membres du plateau. Car le mariage semble finalement évident entre la Team USA et Henry, qui a évolué de l’autre côté de l’Atlantique en tant que joueur et en tant qu’entraîneur. Place à la troisième casquette, celle de sélectionneur ? Avec le Mondial 2026 en ligne de mire, le projet a tout pour lui plaire…