SCANDALE HOMOSEXUEL À LA GRANDE MOSQUÉE
LES GOORDJIGUÉNES viennent de franchir allègrement le Rubicon! À peine remis du scandaleux tournage-vidéo d’ébats d’homosexuels, qui avaient foulé au pied la sacralité du cimetière de Soumbédioune, en 2005, où les policiers du Commissariat du 4e arrondissement de la Médina, après avoir été alertés par des riverains, avaient mis la main sur un trio de pervers, qui tournaient une séquence pornographique LGBT dans ce lieu sacré;
APRÈS l’acte sacrilège de 11 homosexuels qui scellaient des mariages contre-nature à l’école Ibrahima Diouf de Kaolack, sur la terre bénie où repose Cheikh Al Islam Mawlana El Hadji Ibrahima Niasse, de surcroît lors d’une nuit aussi sacrée que le Mawlidou Nabi, marquant la naissance du Prophète Mouhammad (psl), le 25 décembre 2015;
APRÈS le “record” battu, le 17 octobre dernier, lors du mariage homosexuel de Mermoz, qui avait mis en scène 26 adeptes d’unions contre-nature…
VOILÀ que les suppôts de ces lobbies sataniques, lesquels ne posent aucun acte par hasard, enjambent la ligne Maginot dans la nuit de ce lundi 23 novembre, en commettant l’inimaginable : souiller ce haut lieu de culte, qu’est la Grande Mosquée de Dakar, en y perpétrant le plus ignoble des péchés, banni par au moins 18 “fatwas” du Saint Coran, après avoir été fermement proscrit par les Textes de la Chrétienté, notamment Lévitique (chapitre 18, verset 22) : “Coucher avec un homme comme on couche avec une femme est une abomination”.
CETTE ÉNIÈME provocation, à l’actif d’une minorité insignifiante de déviants, s’inscrit en droite-ligne de cette culture de l’impunité, dont les récépissés de reconnaissance officielle, scandaleusement détenus par au moins 16 associations d’homosexuels et de lesbiennes, jouent incontestablement un effet catalyseur. Convaincus, selon l’expression populaire, que “dou moudjé fénn” (ce sera classée sans suite), ces contrevenants permanents à l’article 319 du Code pénal, confortés par lesdits récépissés, que leur a délivrés le ministère de l’Intérieur (et dont JAMRA en avait apporté les preuves irréfutables, lors de notre face-à-face, le 13 novembre 2019, avec le ministre sortant) ne se fixent plus de limite dans leurs frasques provocatrices, au point d’avoir exaspérées de larges franges de la société sénégalaise, agressée dans ce qu’elle a de plus cher: sa Foi.
TIRANT profit de l’avènement des NTIC, les marionnettistes de nos déviants locaux, semblent avoir dotés leurs snipers invétérés de “moyens conséquents de ripostes”. Ils galvanisent sporadiquement leurs troupes éparses, dans le sombre dessein d’organiser, notamment dans les réseaux sociaux, des tirs de barrages sur les rares compatriotes qui osent encore dénoncer leurs dépravations.
ABONNÉ(E)S aux plateformes à haute fréquentation de “followers”, ils lâchent une horde de lesbiennes et de gordjiguénes qui, sous couvert de la lâcheté de l’anonymat (profils anonymes, sans visage), inspiré(e)s et soutenu(e)s par des puissances maléfiques tapies dans l’ombre, envahissent Facebook, YouTube, la presse en ligne, etc., pour abreuver de leurs nauséabondes injures de braves compatriotes, des croyants imbus de leurs devoirs sacrés de veiller à la préservation des nobles valeurs de notre sublime religion. Ainsi, suffit-il que les frasques sataniques d’un des leurs défraient la chronique, pour que la Meute reprenne spontanément service. Pour organiser la résistance. En larguant de répugnantes diatribes, indistinctement sur un modeste professeur Cheikh Oumar Diagne, jusqu’au vaillant Khalife Khalife général des Tidianes Serigne Babacar Sy Mansour; en passant par le brave Serigne Modou Lô Ngabou, leader de l’organisation islamique “Safinatoul Amane” de Touba. Et ces relais locaux des lobbies LGBT de déverser, sans sommation, les ordures de leurs imaginations dévergondées sur les hautes vertus prônées par ces hommes d’honneur, réputés fustiger et combattre sans relâche toutes les dérives sociétales.
JAMRA salut la prompte réaction des éléments de la Police de Rebeuss, qui ont aussitôt débarqué sur ce haut lieu de culte, après avoir été alertés par le préposé au gardiennage de la Grande Mosquée. Pour appréhender ces déviants, en flagrant délit de sodomie.
LES BUREAUX EXÉCUTIFS de l’ONG islamique JAMRA, de l’Association pour servir le Soufisme (AIS) et de l’ONG Daral Quran wal Ikhsan ont décidé de se constituer partie-civile, en saisissant d’une plainte le Procureur de la République. Auprès de qui JAMRA avait naguère légitimement requis, et obtenu, la fermeture de la discothèque de lesbiennes, dénommée “5 sur 5”, de Mboro (Région de Thiés), qui aura néanmoins eu le temps de pervertir nombre d’adolescentes de cette paisible localité.
JAMRA saisit cette opportunité pour réclamer la réouverture de ce lieu de culte, fermé depuis le 20 mars dernier, pour motif de Covid19. “Wa anal massadjida lilah” – Les Mosquées sont les demeures d’Allah, nous rappelle le Saint Coran (Sôratoul Djinni 72, verset 18). La nature ayant horreur du vide, il n’est dès lors pas surprenant, qu’après huit mois de sevrage de culte divin, que satan et ses suppôts y aient pris leurs quartiers.
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